Cet examen, hormis ceux de ma première communion et ma deuxième, sont les seuls qui ont fait de ma vie ce qu’elle est.
Il y a aussi mon CAP d’ajusteur, mais c’est autre chose !

J’avais complètement oublié cette image, allez savoir pourquoi elle est sortie d’un placard il y a quinze jours, quand Danièle me l’a présentée. Je l’avais occultée, même pas un soupçon dans mes souvenirs, et pourtant, il m’a fallu admettre la réalité de ce pictogramme.

Le hasard, encore une fois, vient interférer pour mon plus grand bonheur, égayer mon esprit.

François Rousseau ayant eu la bonne idée de me transmettre une vidéo intitulée « Je n’aime pas l’école », le 14 octobre 2025, que je m’empresse de partager.
À suivre…

Encore une fois, je vais y aller de mes amalgames pour faire d’une banalité un événement avec ses retombées. Bien sûr, il en est parmi vous qui vont se gausser en me jugeant comme un être délirant ; fi de ces pisse-vinaigre !

Je me présente toujours comme un primaire, mais comment faire autrement ? En culture générale, je me suis arrêté à ce stade à 14 ans. Je suis entré dans un centre d’apprentissage, aujourd’hui désigné comme lycée professionnel, après avoir été au collège d’enseignement technique, quelle avancée sociale.

La semaine dernière, je me suis arrêté en tant que spectateur sur un boulodrome. Il m’amuse de profiter du spectacle que ces acteurs animent avec un sérieux, plein de répliques on ne peut plus ironiques, ponctuées de propos des plus fantaisistes.

Ce jour-là, un des anciens apprentis ajusteurs ayant partagé nos vies d’interne, faisait équipe en tant que pétanqueur à part entière. Ce monsieur figure déjà dans un précédent article : : « MON INTERNAT 3 », en tant que quidam rencontré sur le carreau des Halles, qui a subi mes sarcasmes suite à mon don de physionomiste.

Pour renseigner ses compagnons de jeu sur nos relations, je me suis présenté en révélant nos qualités de pensionnaires du centre d’apprentissage pour préparer notre CAP d’ajusteur, métier enseigné parmi bien d’autres.

Ces quelques lignes n’ont pour but que de relever la réflexion de l’ancien interne en me faisant remarquer :

• Tu sais, il y a bien longtemps que les centres d’apprentissage sont devenus des collèges.

Il a raison, mais pour moi, je préfère l’ancienne appellation.

N’empêche que se targuer d’avoir été collégien est peut-être plus valorisant que de dire apprenti ?e apprenti ???