Jamais deux sans trois !
Cette citation, prononcée suite à deux événements qui se sont succédé d’une façon improbable, ne fait que me conforter dans ma façon de réagir en tant qu’être aimant flirter avec le paranormal. Les deux appellations constituant le titre de l’article ci-dessous ne sont pas là par hasard, quoique : pour le premier, c’est un patronyme, le second le nom d’un village.
Si j’analyse le pourquoi des inopinés à l’origine des deux événements à suivre, il me plairait, tout du moins, je l’espère, qu’un troisième clin d’œil viendra agrémenter ces deux événements avec un sujet du même genre.
Pour le premier, je ne sais comment il m’est arrivé de ne plus me souvenir du nom d’une famille, sortie de ma mémoire, il y a plus de 40 ans, et pour quelle raison ? Peu importe, mais impossible de me rappeler du nom de cette famille. J’ai bien demandé aux personnes de mon environnement, il est vraisemblable que je ne me suis pas bien fait comprendre, car toutes mes requêtes sont restées vaines.
L’énigme a été résolue dans les jours qui ont suivi. En fidèle lecteur des avis d’obsèques paraissant dans notre quotidien, une personne portait le nom Gendre, celle en question ; n’ayant vraisemblablement aucun lien avec les personnages de mes recherches, sinon le patronyme. Je me suis réjoui de la façon dont ce nom m’est revenu, mais sans plus ; rien d’improbable. Il est assez fréquent de vivre ce genre d’événement ; quoique ! Il me faut maintenant expliquer le pourquoi de l’emploi de l’adage : Jamais deux sans trois !
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Lublé est un petit village situé au Nord-Est du département d’Indre-et-Loire. Vous pouvez visiter l’église en vous rendant sur le site Le Pèlerin de Touraine.
Suite à une conversation avec un ami (il en est qui vont s’étonner que j’emprunte ce qualificatif, mais ceux-là, ils connaissent ma réponse) pour, je ne sais quelle raison, il a été question de ce village. Pour l’un comme l’autre, impossible de se rappeler le nom de ce village. Bien sûr, il aurait été facile de nous servir des moyens techniques de recherche mis à notre disposition en ces temps modernes, mais ni l’un ni l’autre n’en avons éprouvé la nécessité. Si je suis ce matin devant mon clavier, je le dois à mon quotidien. Hé oui, pensez ce que vous voulez, mais le lendemain matin, ce village de Lublé, l’objet de notre conversation, pour une raison propre à l’actualité d’une association lubléenne, tenait place en haut d’une page de La Nouvelle République !
Je ne pouvais attendre la troisième à suivre, je me contente et me satisfais de ces deux invraisemblances pour imager mon histoire !