13 janvier 2024

J’AI TOUT INTÉRÊT

Un nain! Terré!

Un entre deux hasards :

Je voudrais vous intéresser sans pour autant faire l’intéressant, quoique si je manque d’intérêt, il se peut que votre interprétation soit mal interprétée. En tant qu’intervenant dans cette intervention non interdite, je voudrai que vous interprétiez mon introduction avec beaucoup d’intérêt.

S’il en est un intéressé, c’est bien notre banquier. Je ne dis pas qu’il n’est pas intéressant, mais je le soupçonne d’être surtout intéressé par ma personne. Celle-ci n’a d’ailleurs aucun intérêt, à en dire quelques-uns, qui n’attachent pas d’intérêt à ce que je suis.

Il me faudrait pour éveiller un certain intérêt de leur part, que je sois plus intéressant. Ce désintérêt envers ma personne me chagrine, moi qui me voudrais pourtant être intéressant sans pour autant faire l’intéressant.

Ce non-philanthrope, je pense au banquier ! S’intéresse avec intérêt à nos intérêts, très intéressant cet intéressement, qui intéresse ces intéressés par nos intérêts. Ces intérêts générés par des intérêts, intéressant pour les intéressés que nous sommes, loin d’être des désintéressés, il porte grand intérêt à veiller sur ces intérêts qui génèrent des intérêts intéressants dans leurs intéressements partagés.

Pour l’intérêt de tout le monde, intéressons-nous aux intérêts communs. Chaque intéressé se doit d’intéresser l’ensemble des intéressés, les désintéressés de nos intéressements ont un intérêt : celui d’interrompre nos interjections qui sont vraisemblablement inintéressantes par un manque d’intérêt à leurs yeux ; ce désintéressement ne nous intéresse pas, notre manque d’intérêt pour ces inintéressants rompent notre intérêt commun.

Avant de me désintéresser de vos intérêts sachez je suis toujours intéressé par l’intérêt que vous me portez. Cet intéressement n’a rien de gratuit car pour moi, la gratuité n’est pas gratuite. Il me faut toujours trouver un intérêt ; les gestes gratuits ne vont pas dans mon intérêt donc ne m’intéressent pas.

Pour ne pas devenir inintéressant, il me faut interrompre ce trompe l’œil de mots. Pour ce faire, je m’interdis d’interférer en tant qu’inter mi temps des interprétations plus ou moins intéressantes en interférant sans interdits dans d’interminables interventions, ce blabla ininterrompu interprétant avec beaucoup d’intérêt, en intervenant comme un intrus.

L’imperturbable que je suis, m’interdit de vous importuner en interrompant cet imbroglio de mots qui, je l’espère, vous a intrigué. Pour moi, je suis impressionné par tout ce que nous pouvons imprimer en surfant avec internet en espérant impressionner les internautes.

Je ne peux joindre des photos car les intérêts, nous ne pouvons les voir ni les sentir, et pourtant ils existent.

Comme le vent et les anarchistes!

Par contre, nous, nous les sentons passer.

Nous avons emprunté 300 000 francs en 1979, en 1999 nous avons remboursé 800 000 francs, y compris le capital. Ne dit on pas que l’argent n’a pas d’odeur, ce qui n’est pas tout à fait vrai car nous, nous l’avons senti passer.

2 Comments

  • Avec tous ces intérêts, ce n’est plus un blog, c’est … un guichet de la Caisse d’Epargne ! Lol …

  • Après cette prolixe faconde, parlons gros sous, toi qui te targues d’être si pécuniairement intéressé …
    Je présume que durant ta longue carrière commerciale tant dans le domaine du matériel agricole puis celui de l’immobilier, tu évitais de développer vis à vis de ton client, tels propos que ceux de tes derniers mots, sur le coût réel des crédits ??
    Présentées ainsi ces sommes peuvent sembler faramineuses, mais il ne faut pas négliger qu’en cette période d’inflation succédant  » les Trente Glorieuses », les salaires étaient indexés sur le SMIC mensuel, qui passait de 2.000 à 6.500 F et les taux d’intérêt chutant alors de 9,5 à 3,5 % !
    Comme beaucoup d’entre nous tu as profité de cette manne pour investir dans la pierre, sans perdre de vue que sur ce coût global de 800.000 F, le loyer évité durant cette acquisition sur les 240 mois, représentait déjà un bon 1/3 du montant !
    A l’époque de 1999, cette somme de 800.000 F équivalait environ 120.000 €. Par rapport au prix de vente de ton bien actuel, 25 années plus tard, je ne pense pas que les proportions offusquent ta conscience pour autant ?? FR

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