UNE VINAIGRETTE, LA TÊTE DANS LES NUAGES, LES PAVES DE LA RUE NATIONALE, LES FLEURS DE PLATANES SUR LES BOULEVARDS EN PLUS DES DÉCORS DES TROTTOIRS, N’EST-CE PAS DU « PIPI DE CHIEN » ?
Tout a commencé par une assiette de vinaigrette préparée par Danièle attendant la salade d’un dîner. J’avais déjà pratiqué cet art en imageant les nuages. Ce soir-là, en entrant dans la cuisine, je ne pouvais pas ne pas voir cette paréidolie qui, celle-ci étant photographiée, une autre image est apparu dans mes yeux. Il m’a fallu simplement me retourner pour me rendre compte que je ne rêvais pas, dans mon champ visuel apparaissait l’objet de ma réflexion.
Hasard ou pas, l’invraisemblable se matérialisait, pour mon plus grand plaisir.
Je n’avais pas attendu cette occasion pour me comporter en photographe. Tout a commencé le jour où en levant la tête un après midi d’été, cet ânon est apparu dans mon champ visuel, me provoquant de sa superbe
Voilà comment je me suis retrouvé comme amateur de ces œuvres d’art ; mot dénommant que je ne connaissais pas : « LA PARÉIDOLIE ». Il m’était arrivé comme tout le monde de visualiser ce genre de « reprographie » depuis l’enfance, sur le chemin de l’école, tous les jours sur ce parcours, dans la dégradation d’un mur, le pignon d’une maison, un chameau apparaissait.
Une parenthèse, je ne sais pas si vous visualisez dans le motif de ce cliché, un chameau croqué par dame nature ! Dire qu’il ressemble à celui évoqué ci-dessus ?
L’invraisemblable qui me ramène aux hasards et qui m’accompagne aux fils des jours. Le dimanche matin du 21 avril 2024, en allant faire le marché, je remarque sur ma droite une maison avec un crépi situé à une certaine hauteur en décrépitude. Bien que sans motif, cette image me rappelle un souvenir illustrant le trajet de l’écolier que j’étais.
Delà, hasard ou pas, en me retournant, je reste en arrêt sur un autre mur avec un enduit dans un triste état. Si comme moi, il vous apparait un dessin, résultat d’un artiste immatériel évoquant un chameau, sachez que pour moi, il m’est agréable de compléter la série de mes hasards.
Ils en est parmi vous qui pourraient penser à une affabulation venant alimenter mon désir de compléter ma série des hasards qui m’accompagnent. Pour les détracteurs, j’ai comme témoin Danièle, à qui j’ai raconté au tout début de ma collection d’illusions fantastiques, mon histoire de dromadaire. Ensuite une autre paréidolie est venue m’interpelée. Celle-là, c’est en Espagne (une autre histoire: VACANCES EN ESPAGNE PARUE le 08/10/2022).
Je n’avais pas attendu cette perche tendue, pour commencer ma collection de pareidolies. Que cela soit dans les nuages ou les pipis de chiens etc… Pour vous amusez, vous pouvez chercher les représentations illustrant un aperçu de ma collection :