Une fois n’est pas coutume, ce dimanche matin, je laisse ma place pour colporter le message reçu d’un fidèle lecteur. Ce monsieur, c’est François qui alimente mes publications de ses commentaires de la plus belle des façons et pour mon plus grand plaisir.

« Comme quoi, selon l’endroit où l’on vit sur la planète, nantis des mêmes biens et avantages, on peut se sentir privilégié dans un milieu défavorisé ou défavorisé dans un milieu privilégié !

Autrefois, l’aisance propre se comparait par rapport à celle du proche milieu ambiant et, faute de connaissance de ce qui se passait et existait par ailleurs, on n’envisageait guère d’en convoiter les avantages ni de craindre les inconvénients.

Aujourd’hui, du fait de l’expansion des médias et des facilités de voyage, le champ des possibles est maintenant ouvert à la portée de tous. Ainsi, il ne faut pas s’étonner que cette convoitise engendre de par le monde de plus en plus de déçus !

Un autre point de vue consiste donc pour les insatisfaits à endurer stoïquement les contraintes de ce bas monde, en espérant la béatitude assurée dans l’au-delà. Mais ceci est une autre théorie, réservée au domaine des religions et que j’avoue fort mal maîtriser ! »

Ne vous méprenez pas, dimanche prochain, mon grain de sel reviendra condimenter mon boniment qui ne saurait vous manquer ; fie de la modestie !