8 janvier 2022

UN CLIN D’OEIL

Une nouvelle histoire

Cette narration est une exception, elle ne concerne pas ma personne. Je prends la liberté d’écrire sur ce hasard on ne peut plus invraisemblable, ce qui lui donne une place de choix dans mon recueil de ce genre de récits.

Même s’il n’est pas de mon fait, je revendique une certaine appropriation vue les héroïnes de cette épopée et oui ! Bénédicte et ses deux filles, je les considère comme une partie de mon ego, ce pourquoi aujourd’hui je détourne ce fait en l’incluant dans mes hasards, en faisant mien cet événement invraisemblable.

Bien que je ne sois rien d’autre que le témoin oral, il m’est très agréable de pouvoir narrer cette histoire.

Que de circonstances inouïes pour créer un événement impossible à imaginer même dans des affabulations les plus fantasques.

Arrivons à ce hasard, nos trois héroïnes, devenus cinq suite à ce chamboulement, sont parties pour Paris afin de passer une journée dans notre capitale, dans le but de visiter une exposition artistique. Elles ont profité de cette pérégrination pour s’adjoindre la compagnie d’une amie de leur famille Pricillia, résidente de l’ancienne Lutéce, une passionnée en tant que comédienne tenant rôle dans les passeurs de légendes(la troupe de théâtre créée par Béné). Pour l’instant rien que de banal, le déroulement on ne peut plus ordinaire, une journée culturelle comme prévue.

Ce qui motive cette prose s’est déroulé dans un wagon du métro qui les ramenaient à la gare Montparnasse, pour leur embarquement ferroviaire devant les ramener dans notre ville.

Comment je ne sais pas, mais l’extraordinaire a eu lieu dans ce décor, nos quatre héroïnes ont croisé une cinquième personne de leur connaissance (le pourquoi de l’appellation les cinq héroïnes nommées plus haut).

Le nombre de probabilités pour que cette rencontre ait pu se produire reste inimaginable. Sophie le prétexte à cette affabulation, accomplissait comme au quotidien ce trajet qui la véhicule de son travail à la gare TGV qui lui, la ramène à son domicile sis à Tours.

Tenant compte du nombre et l’enchaînement du passage des métros circulant sur cette ligne, il n’y avait pas une chance sur un nombre incalculable que l’événement motivant mon récit se produise. En plus Sophie avait changé son horaire, et même si cette petite compagnie avait connaissance de ces déplacements, elles étaient loin de se douter de cette retrouvaille improbable

Qui est Sophie? Une amie de Bénédicte, toute première adepte (des passeurs de légendes) un des piliers de cette association.

En attendant un nouveau site avec pour but conter les hasards vécus, par vous! Mes lecteurs.

Je vous fais partager ce même hasard vécu par Bénédicte et ses filles, cet événement vu par deux êtres différents, le premier écrit suivant les dires des héroïnes, le second narré par la principale actrice de cet évènement.

Petit bonheur de la vie

Évidemment, bon sang ne saurait mentir : ma vie est pleine de ces signes qui relèvent plus pour moi de la magie et de la poésie que du hasard. Je ne crois absolument pas au hasard.

Ainsi donc, puisque papa veut que nous partagions les jolies surprises que la Vie nous fait, voici donc ce qui nous arriva, à mes deux filles et à moi, le 29 octobre 2018.

Il y avait alors, à Paris, une exposition consacrée à Alphonse Mucha et je tenais à ce que mes filles voient les œuvres de cet artiste que j’adore et qui ne cesse de m’inspirer. Toute une aventure ! Nous sommes parties très tôt le matin et nous avons été émerveillées par cette exposition. Nous sommes ensuite passées devant Notre-Dame, et nous avons pu aller faire quelques achats dans une boutique éphémère qui proposait de charmants produits dérivés de l’univers d’Hayao Miyazaki. Journée parfaite aux côtés d’une amie qui habitant Paris, s’était proposée pour nous piloter et nous accompagner tout au long de notre périple. Cette amie, Priscilia, faisait alors partie de ma troupe, Les Passeurs de Légendes.

Toutes les bonnes choses ont une fin, comme aime à le répéter papa, et il fallut prendre un dernier métro pour rejoindre la gare Montparnasse afin de rentrer à Tours. Je déteste le métro. Nous étions toutes les quatre serrées les unes contre les autres (j’avais déjà du gel hydroalcoolique dans mon sac, car peu de choses me dégoûtent autant que de devoir tenir une barre dans le métro ou dans un bus) quand soudain, la porte de la voiture dans laquelle nous étions s’ouvre et, quelle ne fut pas notre stupeur et notre joie de voir monter dans ladite voiture, Morrigan, notre déesse des batailles chérie, c’est-à-dire Sophie, qui tous les jours, part travailler à Paris le matin, et rentre à Tours le soir, Sophie qui exceptionnellement ce soir-là, avait décidé de prendre son train plus tôt. Mais nous n’en savions rien. Et elle ignorait que nous étions sur cette ligne de métro à cette heure-là !

Quelle chance avions-nous, sans nous donner rendez-vous, de nous retrouver ainsi, de manière improbable, mais visiblement prévue par la Vie, dans une voiture de métro ? C’était bien une chance ! Quel bonheur !


3 Comments

  • Quand Métropolitain devient roulette du Destin..
    Lieu clos, restreint et privilégier au brassage des foules au grès des Lignes, des Stations, des Horaires et des milliers de Passagers qui empruntent toujours pressés et souvent compressés ses escaliers et couloirs de blanc carrelés.. Superbe sujet d’exercices pour des calculs de probabilité !!
    De nos jours je suppose (cela doit faire une bonne trentaine d’années que je n’y ai mis les pieds!), lieu et circonstance de promiscuités physiques et psychiques, le plus souvent déplaisantes, voir pénibles, regards rivés sur la lecture, le téléphone, la vitre afin de scruter l’assemblée, tout en évitant un examen direct… Le masque, les lunettes et pourquoi pas les gants au risque de passer pour un(e) « bourge » !!
    Un souvenir nostalgique et lointain remontant à fin des années 50, un soir minuit passé, en rentrant d’un spectacle, une station déserte et illuminée, dans une rame arrêtée parallèle à la mienne, une amie d’enfance, perdue de vue, nous nous sommes reconnus, avons souri et levé la main comme pour un aurevoir, mais qui en fait était un adieu, car ne nous sommes jamais revus !!

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